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Jo-PettisETdeux"ii"
1 avril 2009

Une beauté en aparté

Sous les douleurs de la détresse et de l'incompréhension du monde se résonne des perles vertes nacrées de désarroi, cultivés au second degré un "anti-paire". Gelé sous les pieds, les tiges doivent s'envoler, l'auriculaire de la tristesse aussi. Partir pour fuir, c'est le plus raisonnable maintenant. Tu croyais pouvoir réussir et tu as échouée. Sur toute la surface séché par ton abrité tu t'es emparé de ton arrogance abrasif qui use et polit ton passé. Tu croyais y revenir te ferais avancer. Tu dois avancer. tu ne peux rien effacer, inventer ni deviner. Tu aimes et tu t'y en mêle et noie de ce gouffre ronflant ce qu'il à pêché sans te le demander. Ta tristesse ne t'en fera qu'une faiblesse. Petite femme que tu veux être, tu dois abroger tes défaites et tes échecs. Je sais. Tu es raide et étroite tu compresse et serre sans relâchement cette palpitation de coeur et de détermination en trépignant sur tes parents. Tu es doté d'une force qui te traînes vers l'infortune et le mépris de toi même, vers l'ignorance et l'envi de gerber. Tu es perdu mais personne te donneras le fils d'Arianne petite crédule. Je sais. Ton chemin se mène à cette dot. Il n'y en a peut être pas. Tu n'es peut être pas destiné à cette perte de temps. Ce n'est pas un papier qui te définiras et te diras qui tu es, tu sais qui tu es et tu le découvres encore et encore. Seul cette chose t'importe. Jugé par les autres de narcissique. Peut être. Mais cette différence ne t'es pas anodine, un jour tu en feras une force ma chère. Mais un jour seulement on a pas de récompense sans pente. Je sais. La pente est rude longue et dur. Je sais que tu peux retomber dans le ravin par chut. Je sais que tu peux t'y noyer mais ce ne sera pas par ta propre volonté tu es trop forte pour ne pas surmonter les chocs. Tu as déjà fait un bout tu en feras le quadruple pour pouvoir prendre du recul sur tes années. A cette heure elles sont trop courtes pour baisser maintenant les bras. Parce que tu n'as rien vue que tu ne peux comprendre ce que tu vois. Tu aimes. Voilà pourquoi tu as mal. Tu les aime. Coupé d'un trait horizontal cette verticale qui te longe le corps et t'agrippe et y coule la vie, te donne envie par humiliation, détresse et tristesse. Tu n'espère que ce que tu n'as pas mais ne vois pas ce que tu as. Tu es honorable par l'amour que tu as mais tu cultivés avec des ronces te ronges le moral. Ta peau se dilate de "porcinets" qui ne demande que de te ronger au sang pour mieux se reproduire et te bouffer les cellules mortes ou pas tu n'as pas à tomber. Tu es seule. C'est ce que tu crois. Tu veux l'être car comprendre autrui t'es insupportable et surtout impossible. Tu ne t'es fini seule tu n'es donc pas finie. Tu voudrais qu'on prennes ta pelle et creuse à ta place, toi seule peut le faire. Je sais. C'est difficile et dur de savoir que tu as fuis un équilibre de vie pour partir à l'aventure vers une carrière que tu croyais être la tienne. A la place tu as choisi ta seconde famille. Tu as choisi. Et tu t'es construite et détruite. Tu es parti par dépit et tu t'es détruite. Tu as fui ignoré pour une passion que tu ne savais pas encore qu'elle allait être, tu as toujours fuit le bonheur qui est sous tes yeux. Tu as tellement fui qu'il est maintenant loin et suspendu à des années de chagrin et douleur pour t'avoir puni de cet impardonnable acte.
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Jo-PettisETdeux"ii"
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