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Jo-PettisETdeux"ii"

12 août 2009

besoin de vider la vessie

Tu t'es dis que tu allais arrêter d'écrire pour le bien de tout le monde, et là ça te prend comme le besoin nécessaire d'aller vider ta vessie !

Ca évite après les ratés de pinceaux sur ta feuille... ca y'ai tes personnages sont désaxés ! ... est ce un mal ? Tu les a décalés pour mieux les recalés dans la réalité avec leurs vrai personnalitées.

Je défend l'envie de péter une araignée en deux , de poiinter mon index sur le 56 de la carte, de désorienté mon regard sur ce qui ne put apparaître.

Plus tu écris plus ça devient incompréhensile, devrait on s'inquièter ?

Ton absence nous critique un état troublé par l'anxiété, par une présence non consenté un endroit non adapté des gens non fréquentés... mais seul la musique te replace sur le fil de fer...

Seul ces dégivrés timbales essuient tes larmes et désarme ta maladie ...

Ton cerveaux se défragmente et ton âme se vide ...

Vite du rouge.

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15 juin 2009

souffler d'un souffle qui n'est pas le notre...

Après une longue période d'absence... une longue période de creux et de vide qui me hante chaque jour qui plombe mes nuits de cris, hurlements et rages... des yeux de survis encerclés d'un regard noir sur le monde qui tourne autour de moi comme la roue de lotto qui fait lécher leurs prunes...à ces couillons... Je voudrais pouvoirs tourner vers la droite cet écrou blanc avec l'index de sureté...qui comprendra... L'origine du problème. A quoi bon ? A quoi bon se faire violence, mourir pour autrui, pour rentrer dans le système... faire plaisir à autrui ... j'ai pas demandé à être... je ne dois donc rien. je suis être pour leurs simple plaisirs. je vis, je n'ai donc pas à dire merci. je ne leurs dois rien, je les aime pour les êtres qui sont et non pour leur magnifique création... ... quel manque d'humilité. Une qualité qui manque beaucoup dans cette époque où l'on veut se prouver chaque jour qui on est à tout le monde. Une pression au dessus qui nous empêche de souffler l'air qui nous ai "chair" et non celle qui leurs coûtent chère ! Les yeux sont souvent peu à leurs places et ne pratique guère leurs véritable fonction pour beaucoup... un regard de sureté, de compréhension et de compassion ... contradiction assurée. un regard de partage et d'ouverture vers la beauté la plus humble qui existe dans chacun de.... va chier. A quoi bon, ... pisser dans un violon... mais je préfère chanter.
19 avril 2009

secret délivré

Parce que j'estime que la plus belle façon de s'exprimer est par la voix et l'écriture, que ma plus belle façon de m'exprimer à défaut de ma voix est l'écriture. Même si ma voix, en naissant, ma conception à oublié certains détails pour l'accorder au bon ton. Pour mon écriture, ma conception à oublié certains détails pour la pratiquer correctement, je m'exprime. La chose qui pourrait empêcher un homme de vivre est bien l'expression de soi même. N'importe quel soit s'exprimer est comme manger ou boire, ce n'est pas nouveau. Je m'attarde sur le superficiel. L'essentiel vient à venir. Je crains d'avoir oublier de mettre le bouchon sur le trou, dans mon cerveau, de la partie "connerie" alors peut être qu'il y aura de léger reflux ou remonter d'odeur peu agréable "laché" en plein de mon texte. Je n'aurais et n'ai pas les mots et le cerveau qui faut pour eux... je ne suis pas à la hauteur de ce que ma vision est sur eux. Si je savais dessiné je leur dessinerais un coeur, si je meurs je lécherai les pieds de Dieu pour être leurs anges, parce que je les aime. Si j'étais un avion .... ? (non mais c'est bon je ne vais pas faire tous les objets non plus). Je vais pas non plus me lâcher en public salement et pauvrement à nue pour eux. Mon d'admiration ma fièrté n'a pas de mot et surtout ma passion pour eux. J'imagine ... J'admire la maison en paillé avec le toit pointue étroit de leurs défaut la porte plus grande que les banalités et les fenêtres que leurs principes, si j'étais un avion je volerais à côté d'eux. J'admire de ce fléau noir vitré au bleu agencé au verdâtre argenté de ma conscience miroité par l'inconscience l'épaule de leurs humeurs et bienveillance. Lui, lui et elle. Elle, lui et lui. Lui, elle et lui. de mon chemin si prude et de mes principes de prude... si j'étais seul je serais en Californie, demain en Asie après demain à Budapest. j'ai peur.. je veux partir. de mes yeux ils me comblent, ils me trouent le coeur comme une passoire pour essorer ses pattes, il me tortillent les neurones comme la confection des spaghetti, ils me nourris de la même manière le fait tous les ingrédients de la sauce tomates, ils sont les épices ... mon moi être est l'oignon qui me fait pleurer en m'épluchant devant toi. Ils sont tout simplement les mains mouillés d'eau froide pour m'apporter conscience et sérénité. Je passerai pas entièrement dans l'entonoire des avoeux, j'ai trop de fièrté je l'ai déjà dit. J'imagine pas ma vie sans eux, est ce un mal ? Docteur? Surement que ca l'ai. C'est grave. J'emmerde les principes, j'emmerde le je rentre dans une case,j'emmerde les papiers qui te font ou pas donner un travail , j'emmerde les "il faut faire mais pas comme parce que c'est comme ca que tout le monde fait et k comme ca tu n'arrivera a rien parce ca toujours été comme ca" "et de quelle facon je peux te foutre mon poing dans la gueule" put.... la colère frappe, la colère cogne, la colère me ronge.. mais eux... c'est simple ils sont le souffle si long, calme serain inoffensif provenant d'un enfant pour éteindre les bougies d'un gâteau d'anniversaire. Je devrais enfermé ce secret, mon plus grand secret à vrai dire. Je n'en avait pas d'autre. Ma grenade de coeur pommé est enchaîné par leur être qui m'accable d'admiration et de respect.
13 avril 2009

let it down

Je ramasse ces pages nocturnes, soulève mon pull, contemple d'un oeil étroit ce trou et... attend. Laisse passer, let it and calm down attend que tu parviennes à le combler. Il n'y a que moi, et un jour je parviendrais à. En attendant j'attend en observant mes ainés se faire une paire et une raison, se faire un nid même si... on ne recommence rien, on fuit on dévide et on avide, j'avise sous mes visions moins réalistes que la réalité est visionnaire... j'attend, que la porte s'ouvre et que les rayons s'y imposent. En attendant j'attend, je flemme sous l'étendue du stress atomique qui me recouvre la tête.
2 avril 2009

Ton dernier PS sous tes "crystal" vert

Cet écran gris, cette écriture et cette voix. Je ne suis pas sur que ca soit toi. Je ne suis plus sur du lutin que j'ai dessiné mais tu es au coin de ma rétine quand je les ferme, je les rouvre tu es une guise de canne qui me laisse ouvrir les yeux quand je suis trop bornée pour les fermer. Au coin de mon oeil tu t'y interpose pour t'y affirmer. Je t'ai regardé sans loin d'une envie, sans loin d'un baiser je t'ai admiré. Par le biais de mes coutures si "réflectible" à la lumière de mes envies, mes crans pourraient me servir à t'arracher ces coutures qui t'habitent• Les fils seraient une anarchie. Des fils dans tous les sens par un regard, une découpe de couture pour te découdre du regard. Mes fils m'habite et ne forme plus qu'un, t'entoure pour mieux te dérober, et s'ennivrer dans une éternelle insouciance. un regard qui n'est pas plus qu'innocent qu'hier est accusé d'une grande scène de crime demain. Ciré par l'envie de cimer la dernière déchirée et énnivrer de ton sang mes tissus se déchirent pour que chaque fibre se décompose et déchire en fils et unique fils, une matière se détruit pour dépouiller chaque matière première qui la constituait, pour mieux palpiter l'instant et le moment à savourer. De ses yeux vert mouillée par l'abruti pluie que le temps lui inflige. Ces yeux vert commence et finisse cette scène. Un simple regard, je rapel parmis tant d'autre, un regard qui s'est ennivré dans le sien qui maintenant indétachable est devenu un crime la dernière serai ces même yeux de début habité de lentille pleuré par l'éternelle réalité qui t'aspire d'une froideur à t'inciser la parroi de ton oxygène. Réalité, ce putain de coup de pied éternel dans le cul que tu te prend quand tu es prêt a chaque rêve de décoller.
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1 avril 2009

Une beauté en aparté

Sous les douleurs de la détresse et de l'incompréhension du monde se résonne des perles vertes nacrées de désarroi, cultivés au second degré un "anti-paire". Gelé sous les pieds, les tiges doivent s'envoler, l'auriculaire de la tristesse aussi. Partir pour fuir, c'est le plus raisonnable maintenant. Tu croyais pouvoir réussir et tu as échouée. Sur toute la surface séché par ton abrité tu t'es emparé de ton arrogance abrasif qui use et polit ton passé. Tu croyais y revenir te ferais avancer. Tu dois avancer. tu ne peux rien effacer, inventer ni deviner. Tu aimes et tu t'y en mêle et noie de ce gouffre ronflant ce qu'il à pêché sans te le demander. Ta tristesse ne t'en fera qu'une faiblesse. Petite femme que tu veux être, tu dois abroger tes défaites et tes échecs. Je sais. Tu es raide et étroite tu compresse et serre sans relâchement cette palpitation de coeur et de détermination en trépignant sur tes parents. Tu es doté d'une force qui te traînes vers l'infortune et le mépris de toi même, vers l'ignorance et l'envi de gerber. Tu es perdu mais personne te donneras le fils d'Arianne petite crédule. Je sais. Ton chemin se mène à cette dot. Il n'y en a peut être pas. Tu n'es peut être pas destiné à cette perte de temps. Ce n'est pas un papier qui te définiras et te diras qui tu es, tu sais qui tu es et tu le découvres encore et encore. Seul cette chose t'importe. Jugé par les autres de narcissique. Peut être. Mais cette différence ne t'es pas anodine, un jour tu en feras une force ma chère. Mais un jour seulement on a pas de récompense sans pente. Je sais. La pente est rude longue et dur. Je sais que tu peux retomber dans le ravin par chut. Je sais que tu peux t'y noyer mais ce ne sera pas par ta propre volonté tu es trop forte pour ne pas surmonter les chocs. Tu as déjà fait un bout tu en feras le quadruple pour pouvoir prendre du recul sur tes années. A cette heure elles sont trop courtes pour baisser maintenant les bras. Parce que tu n'as rien vue que tu ne peux comprendre ce que tu vois. Tu aimes. Voilà pourquoi tu as mal. Tu les aime. Coupé d'un trait horizontal cette verticale qui te longe le corps et t'agrippe et y coule la vie, te donne envie par humiliation, détresse et tristesse. Tu n'espère que ce que tu n'as pas mais ne vois pas ce que tu as. Tu es honorable par l'amour que tu as mais tu cultivés avec des ronces te ronges le moral. Ta peau se dilate de "porcinets" qui ne demande que de te ronger au sang pour mieux se reproduire et te bouffer les cellules mortes ou pas tu n'as pas à tomber. Tu es seule. C'est ce que tu crois. Tu veux l'être car comprendre autrui t'es insupportable et surtout impossible. Tu ne t'es fini seule tu n'es donc pas finie. Tu voudrais qu'on prennes ta pelle et creuse à ta place, toi seule peut le faire. Je sais. C'est difficile et dur de savoir que tu as fuis un équilibre de vie pour partir à l'aventure vers une carrière que tu croyais être la tienne. A la place tu as choisi ta seconde famille. Tu as choisi. Et tu t'es construite et détruite. Tu es parti par dépit et tu t'es détruite. Tu as fui ignoré pour une passion que tu ne savais pas encore qu'elle allait être, tu as toujours fuit le bonheur qui est sous tes yeux. Tu as tellement fui qu'il est maintenant loin et suspendu à des années de chagrin et douleur pour t'avoir puni de cet impardonnable acte.
9 mars 2009

I need to dep

J'ai besoin d'un verre... d'une lumière, un carré un éclair. Passé après la vitre et laissé le bus passé, visionne maintenant juste une porter d'étincelle sur nos têtes. L'apesanteur du souci me trahit, les flots m'emportent au dela des mots, la tristesse m'empare des sots d'espoir. Sous une ombre se cache la joie de voir, je reste non voyante sous le grand jour. Le soleil d'un soir m'éclaire. Je reste derrière. Je marche à contre-temps sous la prénombre des vents. Just carry on and come ... I need some sleep, you can go home like this, everyone stup take in down, everyone deserve, juste call her and go just protect her and come I need some sleep, i need to deep in the background on my botttle Whisky means read in my mind. Do I ? Do i fly so hight to join you ? my whisky will give a hand to help me. I need to deep.
8 janvier 2009

enneigée d'un vide glacial

Des êtres qui vivent comme toi et moi en chair et en os par la réalité, alimenté par l'utopie et par le rêve, désorienté, désaxé, décalé, reculé face à la réalité. "Acquiescer", réalité acquise, réalité digérée, pour mieux la dégueuler sur la société contrôlée par ces hommes de création d'un ennui pitoyable, créateur de case, de carré pour ranger des moutons en bonne et du forme, des hommes froid et inhumain qui se veulent le contraire. Je leur renvoie mon reim au dessus de leurs cerveaux, qui extraira mes excréments sur leurs figures, merde contre merde ça ne pourra pas faire réellement défaut. Voilà ma propre définition d'un artiste et à quoi il sert. Et voilà ma définition du reste, et ma définition sur ces gros gignioles en cravate. Je suis Française, j'aurais préféré être Hongroise.
15 décembre 2008

étrangère.

C'est ma perception qui à pris le dessus, déçu par ces années gâchées à être gavée sans grand succès, observée par tant d'humilité elle a décidé d'y revendiquer ! Elle est si rebelle sous ses brindilles blondinette. Sensibilisée jusqu'au pied elle se met à crier de toute cet acquitté de liberté quitte à procurer l'aridité excessif d'une pensé singulière`; Elle crie quitte à se démoraliser, à se tromper elle est fatiguée. Elle crie souffle coupé, l'oxygène à été coupé. Lui à été confisqué pour le moment ... Mais détrompez vous cette perception sous ses regards de chien battu et d'air crédule elle est bien sûr consciente de son originel capacité à pensé de façon à écorché une langue qui lui est censé aliéné à origine. Souvent rebuté, souvent questionné, souvent étrangère, rebut de ce qu'elle est sans savoir pourquoi elle se dit Hongroise.. Toujours étrangère d'un monde bien réel et d'origine fidèle, elle se dit étrangère.... Citoyenne de ses mondes imaginaires elle ne vit que sous sa coquille avec son unique et propre langage. Guérie.... pas si sûre, elle s'est acharné pour ... être "normal" être soit disant ressembler aux autres.... et si après tant d'année d'effort j'ai finalement décidé de la retrouver cette petite étrangère aliéné à son propre monde imaginaire.
8 décembre 2008

Comment lire un texte de Léonie

(Avant le vrai et grand mode d'emploi) : Une mise au point, mais en aucun cas une justification sur ce que je fais ou pas fais mais juste un mode d'emploi. Fautes ? oui et je laisse, texte fragile, destructuré, "fautés", sensible avec biensûr un message toujours d'ailleurs. Compris ou pas compris ? Saches que tu n'as peut être pas toujours besoin de comprendre pour apprécier... Qui appréciera qui voudra.
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